Huit ans après la sortie d’Antigang au cinéma, Antigang, la relève vient secouer le petit écran. Toujours réalisée par Benjamin Rocher, cette suite vient de se dévoiler ce vendredi 25 août sur Disney+. Alors que le premier opus se concentrait sur Serge Buren (Jean Reno), cette nouvelle comédie d’action suit Niels Cartier, qui faisait partie de l’équipe du policier émérite de la BRI de Paris, désormais à la retraite. Après avoir joué dans des thrillers d’action (AKA, Balle Perdue), Alban Lenoir, dans un rôle de papa attendri et dépassé, sort les muscles pour nous livrer un nouveau film coup de poing, plus familial, mais toujours aussi explosif !

Bien qu'il s'agit d'une suite, Antigang, la relève est un film indépendant du précédent. Celui-ci se veut, par exemple, plus comique que dramatique. Si des clins d’œil sont néanmoins glissés çà et là dans le scénario, les abonnés de la plateforme aux grandes oreilles seront immergés dans une nouvelle histoire haletante.

Antigang, la relève : le film qui va secouer Disney+

Alors qu’il était une légende de la police de Paris, Niels Cartier est maintenant un moniteur d’auto-école, un peu morne, qui s’est enfermé dans un train-train quotidien. Ce changement de vie est survenu après le décès de sa femme quelques années plus tôt, lors d’une intervention qui a mal tourné. Il élève maintenant seul sa fille de 14 ans, Charlotte-Serge. L’adolescente au tempérament bien trempé tient à ce que Serge, le prénom de son grand-père de cœur (Serge Buren), soit accolé au sien.

D’ailleurs lorsque son père, campé donc par Alban Lenoir, remarque que le gang responsable de la mort de sa femme refait surface et compte bien obtenir vengeance, elle est décidée à l’aider. Surtout si elle doit lui tenir tête, qu’y a-t-il de mieux quand on a 14 ans que de désobéir ? Voilà que le père et la fille forment maintenant le duo le plus improbable d’enquêteurs, à la poursuite d’une organisation criminelle qui détient un engin chimique explosif. Si l’on pensait que Niels s’était un peu ramolli, le caractère et les punchlines de sa fille vont le ramener à ses premiers instincts de flic aux méthodes peu conventionnelles. La promesse est tenue : l’action crescendo tient le spectateur en haleine, quand le ton humoristique fait d’Antigang, la relève un film qui fait du bien.

Source : AlloCiné