Cinéma

Love and Monsters, une comédie post-apo à savourer sur Netflix

Dylan O'Brien dans "Love and Monsters", à partir du 14 avril 2021 sur Netflix. © Jasin Boland / Netflix

La réouverture des cinémas n'étant pas encore pour tout de suite, la plateforme de streaming a acquis les droits de ce film porté par Dylan O'Brien et nommé aux Oscars pour ses effets spéciaux… Ça promet du lourd !

On ne l'aura jamais trop répété pendant la pandémie, heureusement qu'il y a Netflix ! Les plateformes de streaming, de manière plus générale, nous auront bien souvent sauvés de l'ennui en offrant du bon divertissement. Plus que cela même, elles ont carrément sauvé plusieurs films destinés aux salles obscures, qui ont bien failli passé à la trappe en raison des mesures sanitaires prises depuis un an maintenant aux quatre coins du monde.

C'est encore le cas avec Love and Monsters, une grosse production signée Paramount, qui devait sortir en salle début 2020, avant d'être repoussée… Si elle a bien fait une petite apparition sur le grand écran aux États-Unis en fin d'année dernière, elle s'est finalement résolue à une sortie en VOD. En France, c'est donc le géant du streaming qui se propose de nous faire découvrir, le mois prochain, cette comédie post-apocalyptique fort prometteuse.

Love and Monsters, c'est comme son nom l'indique une histoire d'amour... et de monstres. Ainsi, après avoir évité la fin du monde alors qu'un asteroïde s'apprêtait à heurter la Terre, les éléments radioactifs des bombes qui ont servi à le pulvériser sont retombés sur Terre, faisant muter les insectes. Devenus gigantesques ce sont eux qui ont presque détruit l'humanité, forçant les quelques survivants à vivre cachés dans des colonies souterraines. Parmi eux, Joel, qui a perdu toute sa famille. Lorsqu'il découvre que sa petite-amie du lycée, Aimee, a survécu elle aussi, il décide d'aller la retrouver. Problème : elle habite une colonie située à plus de 100 km. Aussi s'apprête-t-il à affronter moult et moult monstres sur son chemin. Lui qui a la fâcheuse tendance à perdre tous ses moyens dans les situations dangereuses… Qu'est-ce qu'on ne ferait pas par amour, n'est-ce pas ?

Un (très) joli casting

En tête d'affiche de ce film de choc, qui mêle ainsi apocalypse et romantisme, avec beaucoup d'humour en prime, on retrouve un certain Dylan O'Brien. Les amateurs de teen dramas sauront de qui on parle, puisqu'il s'agit d'un des héros de la série Teen Wolf, sur des ados loups-garous, mais aussi de l'acteur principal de la trilogie dystopique Le Labyrinthe. Après avoir par ailleurs prêté sa voix à l'adorable Bumblebee dans le film du même nom de la saga Transformers, le voilà donc de nouveau au premier plan dans Love and Monsters, où il incarne le dénommé Joel.

À ses côtés, les fans de Marvel reconnaîtront peut-être Jessica Henwick, dans le rôle d'Aimee, la jeune actrice ayant joué le personnage de Colleen Wing dans les séries Iron Fast, The Defenders et Luke Cage sur Netflix. Et la cerise sur le gâteau de cette comédie post-apo se trouve côté adultes : Michael Rooker, alias Yondu dans Les Gardiens de la Galaxie et Merle Dixon dans The Walking Dead, se glisse ici dans la peau d'un expert en survivalisme qui vient prêter main forte au jeune héros dans sa mission. Que demander de plus ?

Une bonne dose d'effets spéciaux, peut-être ? Eh bien les amateurs de fantastique et de scènes d'action explosives ne devraient pas être déçus. Pour preuve, Love and Monsters a eu droit à une jolie nomination aux prochains Oscars, justement dans la catégories des Meilleurs effets visuels, aux côtés d'autres grosses productions hollywoodiennes dont notamment la version live-action de Mulan et le dernier phénomène de Christopher Nolan, Tenet. Ça le fait, quand même.

Découvrez prochainement Love and Monsters sur Netflix, qui diffusera donc ce film en exclusivité en France dès le 14 avril 2021.

Pour rappel, la plateforme de streaming est proposée en option chez SFR, à seulement 7,99 euros par mois pour un écran, 11,99 euros par mois pour deux écrans, et 15,99 euros par mois pour quatre écrans. Des offres sans engagement.

Sources : Premiere, Allociné, Vanity Fair