
11 phrases typiques des supporters du Paris Saint-Germain
Chaque club de football a ses légendes, ses gimmicks, qui se transmettent oralement dans le kop, au bar ou devant le poste de télévision, de parent à enfant, de voisin à collègue... Nous avons décidé d’aligner avec humour l’équipe type des phrases de supporters de clubs. Aujourd’hui, le Paris Saint-Germain.
“Ici c’est Paris”
Les supporters de Paris sont forts en géographie et aiment bien rappeler où leurs adversaires mettent les pieds pour les impressionner. Car Paris, c’est pas Gijón, c’est pas Valladolid.
“Il a déjà pris son carton, Verratti ?”
Dans les travées du Parc des Princes, on adore le fougueux Marco. Mais on finit par s’amuser de sa propension à prendre des cartons jaunes à force de fautes vicieuses, contestations et gestes d’anti-jeu en tout genre. Il n’est pas allé à l’école Thiago Motta pour rien.
“Ça me manque, l’ambiance d’avant au Parc”
Avant les différents plans et la nouvelle direction du PSG, l’ambiance était beaucoup plus chaude au Parc. Des fois un peu trop. Mais en dehors des incidents, la ferveur dans les travées était bien plus impressionnante que maintenant, où une ambiance quasi-touristique règne, au grand dam de certains nostalgiques.
“Il nous faut un arrière gauche”
Car il y a un véritable problème à ce poste depuis quelques années et le départ de Maxwell. Après Kurzawa et Berchiche, Antero Henrique est allé chercher l’étonnant Bernat. À défaut de briller défensivement, il a marqué pas mal de buts en Ligue des Champions. Et si c’était avant-centre, son vrai poste ?
“Il nous faut un numéro 6”
Même constat que pour le poste d’arrière gauche. Thiago Motta n’a pas été remplacé et il manque un milieu de terrain en mode “Opération Sentinelle” devant la défense. Verratti n’en a pas le profil, Rabiot aurait refusé d’endosser ce rôle (et surtout de prolonger) et si Marquinhos a sacrément bien dépanné, on sait où devrait être la priorité au prochain mercato. Bon, Paredes est arrivé, mais tout le monde continue d’espérer Kante.
“Pauleta, ça, c’était un joueur”
L’avant-centre portugais n’aura pas évolué durant les années les plus glorieuses du Paris Saint-Germain, mais aura porté son équipe à bout de bras, refusant même de rejoindre l’Olympique Lyonnais. Avec 109 buts en 211 matches, il était même devenu le meilleur buteur de l’histoire du club, avant d’être détrôné par Ibrahimovic, puis Cavani. Et bientôt Mbappé?
“T’as pas vu mon maillot Commodore ?”
Le PSG, c’est aussi une histoire de maillots mythiques. Avec notamment le modèle estampillé Daniel Hechter, le couturier et président, qui créa la fameuse tunique bleu à bande rouge. Son successeur Francis Borelli le remplace par un maillot blanc dans les années 1980, avant le retour au rouge et bleu, en 1992-93, avec un maillot surnommé “la couverture”, fait de bandes verticales bleues et rouges.
“Il s’est fait Zlataner”
Le passage du géant suédois Zlatan Ibrahimovic au Paris Saint-Germain a laissé des traces (sur Stéphane Ruffier par exemple), mais aussi une expression que les fans aiment encore utiliser. Ce n’est pas tout le monde qui peut se vanter d’avoir eu le Chuck Norris du football dans son équipe…
“Avant, c’est nous qui faisions des remontadas”
Avant les difficultés et humiliations actuelles en Ligue des Champions, le PSG faisait de vrais exploits dans les années 1990. Les supporters se régalent encore de ce 4-1 infligé au Parc au Real, alors que le match à Madrid avait été perdu 3-1. Encore plus énorme, celle face au Steaua Bucarest. Défaits 3-2 en Roumanie, les parisiens perdent finalement 3-0 sur tapis vert, pour avoir aligné Laurent Fournier, normalement suspendu. La faute à un fax qui ne serait jamais arrivé… Il faut donc faire l’exploit au retour. Et ils le font, en s’imposant 5-0, avec un triplé de Raï et un énorme Leonardo à la baguette, auteur de quatre passes décisives, pour ce qui sera son dernier match sous les couleurs parisiennes.
“C’est quand déjà, l’anniversaire de la sœur de Neymar ?”
Quand plusieurs coïncidences s’accumulent, elles commencent à former une légende urbaine. Mais tout de même, il y a de quoi être suspicieux. Cela fait cinq années de suite (cinq !), que le prodige brésilien rentre au Brésil pour l’anniversaire de sa petite sœur Rafaella Beckran. Suspendu quand il était au Barça, blessé maintenant qu’il est à Paris… Dès que la date du 11 mars commence à approcher, les supporters du PSG peuvent donc s’inquiéter de ne plus voir Neymar jouer...
“Cette année c’est la bonne, on va gagner la Ligue des Champions”
