L’année 2025 marque un tournant pour Orelsan. Trois ans après la deuxième saison de Montre Jamais Ça à Personne, le rappeur s’est lancé dans un défi inédit : passer derrière la caméra pour réaliser Yoroï, un film mêlant influences japonaises, récit initiatique et ambition visuelle assumée. Avec déjà un accueil prometteur en salles, l’artiste continue de tisser son lien avec le public en dévoilant cette fois l’envers du décor. Dans un paysage audiovisuel où les documentaires sur les artistes se multiplient, Orelsan confirme une nouvelle fois qu’il sait se réinventer tout en gardant cette proximité singulière avec celles et ceux qui le suivent depuis ses débuts.

Un nouveau projet documentaire en famille

Après le succès du documentaire Montre Jamais Ça à Personne, disponible aussi sur Prime Video, Clément Cotentin replonge dans l’univers créatif de son frère avec Yoroï, un an dans l’armure. La série s’intéresse à la genèse du film Yoroï, sorti en salle le 29 octobre 2025 et déjà porté par un démarrage solide, avec 100 000 entrées enregistrées dès le premier week-end.

Ce nouveau documentaire ne se contente pas d’accompagner la sortie du long-métrage : il en raconte l’arrière-histoire. Pendant douze mois, les caméras de Clément Cotentin ont suivi Orelsan dans la préparation et le tournage de cette œuvre ambitieuse, donnant accès à un territoire souvent invisible : celui où les idées se cherchent, se brisent, renaissent et finissent par trouver leur forme définitive.

Un an dans les coulisses du film Yoroï

Dans Yoroï, un an dans l’armure, le rappeur-réalisateur apparaît concentré mais jamais figé. Le documentaire capture ses doutes, ses questionnements, ses réunions nocturnes, ses intuitions visuelles, ses essais qui échouent et ceux qui finissent par ouvrir la voie. Des sessions de travail au Japon aux allers-retours incessants entre écriture et mise en scène, on découvre Orelsan en immersion totale dans un nouveau métier.

Loin des success stories lisses, Clément Cotentin filme le mouvement, le travail brut, la fragilité inhérente à la création. À l’image de Montre Jamais Ça à Personne, la caméra se fait discrète, intime, presque domestique, captant ce que les projecteurs laissent habituellement dans l’ombre.

La dernière pièce du puzzle Yoroï

Présentée par la plateforme Prime Video comme un prolongement direct du film, la série documentaire fonctionne comme la pièce manquante du projet cinématographique. Pour ceux qui ont vu le long-métrage, elle offre une clé supplémentaire pour comprendre son atmosphère et ses choix artistiques. Pour les autres, elle constitue une porte d’entrée vers l’univers du film sans nécessiter de l’avoir vu.

Avec ce documentaire, Orelsan poursuit une trajectoire artistique déjà riche : musique, écriture, séries documentaires et désormais cinéma. Yoroï, un an dans l’armure apparaît comme une étape logique, presque inévitable, dans le parcours d’un artiste qui n’a jamais cessé de changer de peau.

Orelsan : Yoroï, un an dans l’armure est disponible dès maintenant sur Prime Video.

Source : Serie News