
Ce modèle d’iPhone a résisté à une plongée... dans l’azote liquide !
Plusieurs iPhone ont été plongés dans l’azote liquide par un Youtubeur dans le cadre d’un test de résistance, pour le moins extrême, et un seul en est ressorti vivant. D’après vous, quel modèle de la marque à la pomme a pu survivre à une température de -196°C ?
L’extrême devient-il le nouveau terrain de jeu des testeurs de smartphones ? Récemment, la chaîne YouTube TechRax s’est lancée dans un test de durabilité ultime en plongeant deux modèles récents d’iPhone dans un bain d’azote liquide, à une température avoisinant les -196°C : l’iPhone 16 Pro, haut de gamme et onéreux, et l’iPhone 16e, version plus abordable.
Un affrontement glacial entre durable et premium
Durant la vidéo de TechRax, les deux appareils d'Apple ont été plongés simultanément dans l’azote liquide pour observer leur comportement sous choc thermique. L'iPhone 16 Pro n’a pas tardé à montrer des signes de défaillance : l’écran s’est éteint, avant de se fissurer, laissant place à une surface noire. Le refroidissement brutal a visiblement eu raison de son verre et de ses composants, qui semblaient incapables d’absorber une telle variation de température.
À la surprise générale, l’iPhone 16e, bien plus accessible, a tenu plus longtemps. Son écran est resté partiellement visible et, une fois réchauffé, l’appareil a redémarré et répondu au toucher. Bien qu’endommagé, il a mieux récupéré que le modèle Pro. Ce résultat inattendu soulève des questions sur la conception et les matériaux utilisés : l'iPhone le moins cher pourrait, paradoxalement, être mieux calibré pour encaisser les chocs thermiques.

Durabilité : une affaire de design plus que de prix ?
Cette expérience extrême démontre qu’un prix élevé ne garantit pas systématiquement une meilleure durabilité. Dans ce cas, l’iPhone 16e, moins onéreux, a mieux résisté à un environnement implacable que l’iPhone 16 Pro. Certains commentaires font d’ailleurs remarquer que le cadre plus fin et le châssis en titane du Pro, moins efficace sur le plan de la conduction thermique que l’aluminium, pourraient expliquer sa fragilité accrue à très basse température.
Source : TechRax
